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#ANNONCE : Votre journal Courrier confidentiel N° 324 vient de paraitre !

Journal disponible exclusivement sur le site www.courrierconfidentiel.net. A lire dans cette édition :

  • Conseil d’Etat : Deux Généraux attaquent les décrets de leur mise à la retraite

Les Généraux Honoré Nabéré Traoré et Daniel Sidiki Traoré, tous âgés de 66 ans, estiment qu’on est, en quelque sorte, en train de leur « voler » leurs droits ! Et ils sont formels : on ne devrait pas les mettre de sitôt à la retraite. Ils ont d’ailleurs demandé au Conseil d’Etat, la plus haute juridiction de l’ordre administratif, d’annuler les décrets de leur mise à la retraite. Et comme s’ils voulaient se donner toutes les chances de faire voler en éclats ces décrets, ils ont aussi introduit un recours au Conseil constitutionnel. Les détails ici : https://www.courrierconfidentiel.net/Actualites/m_actualite/203301

  • Police nationale : Un élément du GUMI 9 brise le silence !

Vous avez dit « abandon de poste » et « acte collectif d’indiscipline caractérisée » ? Le Directeur général de la police nationale, Roger Ouédraogo, a « frappé fort » le 22 février. Il a sommé les éléments du GUMI 9, alors en mission dans la région de l’Est, de « déposer immédiatement les armes » et de se présenter, le 26 février, au camp CRS de Ouagadougou. Et ils étaient bien présents à la date indiquée. Le DG les a encore sommés de s’expliquer, individuellement et par écrit, dans un délai de 48 heures, sur les faits qui leurs sont reprochés. L’un d’entre eux, contacté par notre Journal, donne, dans cette interview, sa version des faits. A  lire ici : https://www.courrierconfidentiel.net/Actualites/m_actualite/203300

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2 commentaires

  1. Général TRAORE, c’est Aujourd’hui vous pouvez contestez cette situation? Rappelez-vous quand vous étiez Chef d’État Général de l’armée et qu’il y avait vacances de poste? ZIDA a pris les devants et vous êtes resté sans mot dire, lui « serrant les fesses » comme on dit dans le milieu militaire. Même pas un mot ou mouvement de contestation. C’est là-bas vous auriez dû montrer votre désapprobation en tant que premier officier général de l’armée en respect aux dispositions légales.
    Je suis désolé.
    Je peux ne pas bien connaître l’histoire.

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